Velotaf : Aller au travail en vélo, on a passé le pas !
Vélotaf ? « Il est 07h du mat’, le 06 janvier, la température extérieure est de 3°C, la pluie est annoncée pour 18h. Dans ton salon, face à ton vélo, tu te surprends à réfléchir aux 10 bonnes excuses pour ne pas enfourcher ton vélo et faire les 10km qui te séparent de ton boulot. »
Qu’est-ce qui nous a poussés à passer au vélotaf ?
La flexibilité : la liberté, le gain de temps… c’est ça le vélotaf !
En tant qu’urbains et périurbains, plusieurs possibilités s’offrent à nous : la voiture, les transports en commun, le vélo…
Les embouteillages, les distances allongées par les sens uniques et le temps passé dans les transports ont très vite eu raison de nous. En effet, le vélo a l’avantage de permettre des trajets directs en réduisant le nombre de kilomètres parcourus.
De plus, il nous permet de ne pas être dépendants des horaires et de l’affluence dans les transports en commun.
L’hygiène de vie : pédaler c’est bon pour la santé !
Il est important pour nous d’avoir une activité physique régulière. Le temps disponible a souvent été un frein dans nos pratiques respectives du sport.
Inclure le vélo dans nos routines de déplacements quotidiens est un moyen d’intégrer une activité physique régulière sans contrainte dans nos plannings quotidiens.
Réguler l’assistance de votre vélo, vous permet d’adapter votre effort. Même si votre vélo est électrifié vous continuez de pédaler et donc de bosser votre cardio.
Le coût : le vélo est un moyen de transport économique
Mine de rien, nous avons drastiquement diminué nos dépenses liées au transport.
Le coût d’usage pour un vélo électrique est faible. Nous avons estimé l’écart de coût suivant : 2 à 4€/100km pour l’utilisation du vélo (électricité, entretien) contre 15 à 20€/100km pour la voiture (entretien, carburant, assurance).
Ce sont des ordres de grandeur qui dépendent aussi du type de voiture que vous prenez en référence.
La météo : eh oui, il est difficile de se motiver quand il pleut ou quand il fait froid !
Revenons sur la situation évoquée dans l’introduction de notre article, nous avons fait le choix de bien nous équiper. La liste suivante n’est pas exhaustive, chacun pourra y piocher comme il le souhaite :
- Il est important que vos mains soient bien protégées du froid; en effet, elles sont les seules garantes de votre freinage. Nous avons fait le choix d’investir dans une paires de gants de plongée. Ils ne sont pas respirants mais ils assurent une protection contre le froid très efficace. La version premier prix de Décathlon fait très bien l’affaire.
- Un buff pour le cou
- Un bonnet fin sous le casque
- Des habits de pluie : haut et surpantalon (idéalement pas trop épais pour vous permettre de pédaler sans gêne)
- Des garde-boues : choisissez-les plus larges que vos pneus
- Un système d’éclairage avant et arrière : nous avons fait le choix de systèmes autonomes sur batterie, mais il en existe qui sont alimentés par la batterie de votre vélo.
- Garder à l’esprit que pédaler est un bon moyen de se réchauffer ! L’assistance électrique permet de limiter le temps passé à l’extérieur et gérer les dénivelés.
En vélotaf, la sécurité : c’est la priorité
On est effectivement plus exposé quand on est en vélo.
Dans vos comportements, soyez vigilants en permanence. Gardez à l’esprit que vous n’êtes pas nécessairement visibles des véhicules motorisés (ex: angles morts) et qu’ils n’ont pas la capacité de s’arrêter instantanément dès qu’ils vous ont vus.
Il faut donc porter une attention particulière à votre visibilité. Portez des vêtements réfléchissants, équipez votre vélo d’une sonnette et de lumières, portez votre casque et empruntez autant que possible les pistes cyclables sécurisées (séparées physiquement de la chaussée).
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